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Au déclenchement de l’affaire Adnane[1], en septembre 2020, une pluralité de voix ont animé le débat public et médiatique et ont été relayées et reprises sur les réseaux sociaux. Dans un article publié sur Libération et intitulé « Pour que le petit Adnane ne meure pas une deuxième fois », l’écrivain A. Taïa insiste sur les problématiques sociales soulevées par l’Affaire Adnane et liées aux « tabous » relatifs aux abus sexuels sur mineurs, en dehors mais aussi au sein des foyers familiaux :
Publié dans Droit des moeurs

Dans la politique pénale marocaine, les relations entre individus du même sexe relèvent d’un délit correctionnel relatif aux mœurs.  Elles s’inscrivent dans la section VI du Code pénal marocain portant sur les attentats aux mœurs, au même titre que l’outrage public à la pudeur, le viol, l’adultère, ou les relations hors mariage.

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